« Pour la cuisine d’Hérold », explique Armand Hadida, « j’ai voulu changer les dimensions, rallonger les volumes, augmenter les contrastes, créer un graphisme contemporain. Pour l’habillage, j’ai choisi les laitons patinés, les cuivres, les bois traités qui ne gardent aucune trace. »
Roland Szélé, en veillant à tout réaliser dans les limites du vertueux, a créé plus qu’une marque: une signature. Si certains bois nobles ne seront jamais retenus, par éthique, par bon sens, par respect, tout le reste est possible : des matériaux – bruts et massif – jamais utilisés dans l’industrie, des laminages à chaud permettant de fabriquer dans des dimensions inimaginables jusque là, et au millimètre près, s’il-vous-plaît, grâce notamment au savoir-faire de grands ateliers situés en Suisse, en Autriche et en Allemagne.
Différentes, incomparables, tant dans leur architecture que dans leur sensibilité, les cuisines No Name permettent par exemple de stocker à la verticale. Tout élément devient ainsi accessible, facile à utiliser, à protéger aussi. Du rangement aux équipements, chaque détail est pensé, chaque finition est réinventée, donnant lieu à des cuisines uniques, exclusives, charismatiques, adaptées à ceux et celles qui vont les utiliser.
La liberté revendiquée par No Name est absolue — toute comparaison est impossible. Sauf dans la bouche de Alain Ducasse himself, pour qui la cuisine No Name de Leclaireur Hérold est « La Bentley des cuisines. »