QUETSCHE – La nouvelle route de la soie
La jeune marque lancée par Yang Li, alors qu’il était encore étudiant, habille des amazones urbaines, libres comme l’air, sous mille et un voiles transparents.
La jeune marque lancée par Yang Li, alors qu’il était encore étudiant, habille des amazones urbaines, libres comme l’air, sous mille et un voiles transparents.
La jeune marque lancée par Yang Li, alors qu’il était encore étudiant, habille des amazones urbaines, libres comme l’air, sous mille et un voiles transparents.
Quetsche joue sur les juxtapositions et la transparence. Bohèmes de prime abord, les silhouettes sont structurées et affirment un caractère bien trempé. Les coupes des vêtements, les imprimés, la soie, tout évoque la richesse de la tradition du costume chinois. Si les ensembles rappellent les parures éthérées des femmes de la cour ou celles des guerrières, c’est au-travers d’un prisme résolument contemporain, voire post-apocalyptique.
Le créateur chinois met ainsi en scène des histoires prodigieuses, dans le prolongement direct de son imaginaire fertile, de son identité aussi. Il crée Quetsche en septembre 2014, avant de suivre un parcours formateur au sein de grandes maisons. Diplômé de la Chambre Syndicale de la Haute Couture, le jeune homme a successivement travaillé dans les ateliers Christian Dior, Maison Margiela et Lanvin.
L’exigence de Quetsche témoigne de cet apprentissage et d’une recherche minutieuse dans la déconstruction des silhouettes. Aux matières naturelles, comme la soie, se mêlent ponctuellement des tissus irisés comme le satin ou le nylon.
Levez le rideau sur Quetsche chez Leclaireur Sévigné.
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